Wednesday, 1 June 2011

jeune fille musulmane, 19 ans, «lapidés à mort après avoir participé au concours de beauté»

A teenage Muslim girl was stoned to death under 'Sharia law' after taking part in a beauty contest in Ukraine. Une adolescente musulmane a été lapidé à mort en vertu de «la charia» après avoir participé à un concours de beauté en Ukraine.
Katya Koren, 19, was found dead in a village in the Crimea region near her home. Katya Koren, 19 ans, a été retrouvé mort dans un village de la région de Crimée près de son domicile.


Friends said she liked wearing fashionable clothes and had come seventh in a beauty contest. Amis a dit qu'elle aimait porter des vêtements à la mode et était venu une septième concours de beauté.


Assassiné: Katya Koren a été attaqué après avoir participé à un concours de beauté qui a dit à ses amis musulmans extrémistes en colère
Murdered: Katya Koren was attacked after taking part in a beauty contest which her friends said angered hardline Muslims Assassiné: Katya Koren a été attaqué après avoir participé à un concours de beauté qui a dit à ses amis musulmans extrémistes en colère
Her battered body was buried in a forest and was found a week after she disappeared. Son corps meurtri a été enterré dans une forêt et a été retrouvé une semaine après sa disparition.
 
Police have opened a murder investigation and are looking into claims that three Muslim youths killed her, claiming her death was justified under Islam. La police a ouvert une enquête assassiner et sont à la recherche sur les revendications que les trois jeunes musulmans l'ont tuée, réclamant sa mort a été justifiée au regard de l'Islam.


One of the three - named as 16-year-old Bihal Gaziev - is under arrest and told police that Katya had 'violated the laws of Sharia'. Gaziev has said he has no regrets about her death. L'un des trois - nommé 16-ans Bihal Gaziev - en état ​​d'arrestation et dit à la police que Katia avait "violé les lois de la charia». Gaziev est a dit qu'il ne regrette pas sa mort.

Telefone zigendanwa burya zitera kanseri

Une étude du Centre international de recherche sur le cancer a établi un risque cancérigène dans l'utilisation du téléphone portable. Les tumeurs cérébrales seraient en augmentation chez les plus gros utilisateurs. Explications.
 
Le Centre international de recherche sur le cancer (Circ) de l’OMS à Lyon, vient de classer les champs électromagnétiques émis par les téléphones mobiles comme « pouvant être cancérigènes chez l’Homme ». Selon l’agence spécialisée de l’ONU pour la recherche sur les cancers, le risque principal qui doit être envisagé est celui de gliomes – les tumeurs cérébrales les plus fréquentes. Par ailleurs, seuls les gros utilisateurs de mobiles seraient concernés.
Depuis le 24 mai et jusqu’à aujourd’hui, un groupe de travail rassemblant 31 scientifiques de 14 pays s’est réuni au siège du Circ, à Lyon. Leur mission consistait à évaluer les risques potentiellement cancérigènes liés à l’exposition aux champs électromagnétiques. Ils ont travaillé à partir de l’ensemble des études disponibles sur le sujet. 

D’après le groupe de travail, une étude a montré qu’il existait une augmentation du risque de gliome. Celle-ci serait de l’ordre 40 %, parmi les personnes utilisant ou ayant utilisé un téléphone portable à raison de 30 minutes par jour pendant dix ans. Le Dr Jonathan Samet de l’Université de Californie du Sud, présidait ce groupe de travail. Selon lui, « les données scientifiques accumulées à ce jour permettent de conclure à la classification "peut-être cancérigène chez l’Homme" ». Le rayonnement électromagnétique des téléphones mobiles se retrouve ainsi dans le groupe 2B (sur 5) des agents visés par le CIRC.
Les GSM classés dans les « peut-être cancérigènes chez l’Homme »
Le groupe 1 rassemble 107 agents considérés comme « certainement cancérigènes ». Le groupe 2A regroupe 59 agents « probablement cancérigènes ». Le groupe 3 est constitué de 506 agents « non classifiés comme cancérigènes » et on retrouve dans le groupe 4, un agent unique considéré comme « probablement non cancérigène ». 

Dans le Groupe 2B où figurent désormais les champs électromagnétiques des téléphones mobiles, on retrouve au total 266 agents hétérogènes. Les GSM y voisineront ainsi avec des produits chimiques comme le chloramphenicol mais aussi avec le poisson salé à la chinoise, le tabagisme passif, la poudre de bois, l’acrylamide des viennoiseries et les produits de tannerie… 

Le directeur du Circ, Christopher Wild, estime en effet qu’il est important « de poursuivre les travaux et d’évaluer les effets des radiofréquences sur le long terme, notamment chez les plus gros utilisateurs de téléphones portables ».